Les paris sportifs : comment ça marche ?

Un événement sportif est évalué à travers une cote. Par exemple, pour les pronostics Saint-Étienne – Rennes (match de Ligue 1, prévu le dimanche 21 octobre à 17 h), les meilleures cotes sont respectivement de 2 et de 3,80. Concrètement, cela signifie que les bookmakers estiment que les Stéphanois ont plus de chance de gagner que les Rennais.

Par contre, en Ligue Europe, ces derniers sont donnés vainqueurs face aux joueurs du Dynamo Kiev à 2,35 contre 3,10 (https://www.ruedesjoueurs.com/pronostic/rennes-dynamo-kiev-2877408.html)

Pour le match de Serie A, les pronostics sont moins évidents au regard des cotes actuelles : sur la fiche RDJ de la rencontre https://www.ruedesjoueurs.com/pronostic/inter-milan-ac-2846926.html, vous pouvez voir que la cote de l’Inter est de 2,32 contre 2,90 pour le Milan AC. Le léger avantage donné à l’Inter tient davantage à ses dernières statistiques, car lorsque l’on pousse l’analyse, on voit bien que les effectifs (et l’état des blessés) ne permettent pas de distinguer les deux équipes, tout comme leur état de forme en ce moment et les motivations autour de la rencontre.

Dès lors qu’elles sont ouvertes, toutes ces cotes varient jusqu’au coup d’envoi du match en question. À la fin, les gains éventuels sont reversés aux vainqueurs du pari. Par exemple, si vous avez misé 10 € pour la victoire des Stéphanois contre les Rennais (avec des cotes de 2 et 3,80) :

  • Vous gagnez 20 € soit 10 € x 2 en cas de victoire de Saint-Étienne
  • Vous perdez votre mise de départ de 10 € en cas de match nul ou de défaite.

 

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